Quel statut pour l’auteur en édition à la demande ?

Vous être simplement auteur, vous commencez à vendre et ne savez pas quels statuts fiscal et juridique choisir ?

Optez pour Micro-Entrepreneur et simplifiez vous la vie !

Vous devez nommer votre activité lorsque vous déclarez votre autoentreprise. Par exemple « Auteur indépendant » ou « Artiste auteur ». Un code d’activité vous sera fourni, le code APE.

Si vos ouvrages sont commercialisés via l’édition/impression à la demande, vous ne touchez que les bénéfices qui doivent être déclarés, car ils sont votre chiffre d’affaires. Le plafond est de 70 000 € pour ce régime de Micro-Entrepreneur : au-delà, vous devez changer de régime (EURL, SARL, SA…)

À noter que vous êtes exonéré de la Cotisation Foncière des Entreprises, mais pas des charges sociales forfaitaires ni de la TVA à laquelle vous n’êtes pas soumis, mais que vous ne pouvez toutefois pas récupérer.

Pour en savoir plus sur le régime du micro-entrepreneur, consultez :

 https://bpifrance-creation.fr/

https://www.lautoentrepreneur.fr/

Il vous sera toujours temps de changer plus tard, en fonction…

 

Incises ou pas ?
Mettre des incises dans les dialogues, c’est avouer — certes involontairement et c’est cela le plus grave !— sa faiblesse en écriture et son incapacité à rendre crédible son dialogue sans de multiples précisions « didascaliques ». Les incises alourdissent considérablement le dialogue, le rendant très difficile à appréhender, surtout s’il est de plusieurs personnages. Parfois longues et peu originales, elles obligent aussi l’utilisation de participes présents qui ne sont pas particulièrement légers. De plus, elles sont souvent inutiles, car redondantes : l’auteur a peur de ne pas être compris, alors il insiste. Enfin, il faut attendre l’incise pour savoir et comprendre comment jouer le dialogue que l’on vient pourtant de lire précédemment « à l’aveugle » !
Donner le ton, l’intention, le sentiment de son dialogue après l’avoir lu, n’est-ce pas un peu trop tard ?