Manque d’espace
Manque une espace entre « parce » et « qu’on ». Oui, « espace » est un mot féminin ! Canal Plus, Le petit Journal
Manque une espace entre « parce » et « qu’on ». Oui, « espace » est un mot féminin ! Canal Plus, Le petit Journal
À mon avis, la Terre…
Mauvaise concordance des temps, et charabia de la part de BFMTV !!!
Les noms composés de ville se voient attribuer un trait d’union. Mais Amazon n’en veut pas et corrige la bonne orthographe.
VETO signifie littéralement « Je m’oppose ». Alors « Opposer son véto » = je m’oppose à mon opposition, donc simplement le contraire de l’idée de départ de FRANCEINFO !!!
Je remonte cet article vieux de l’an passé :
Sur TF1 dans l’émission MONEY DROP: question :
« Entre INGÉNUMENT et CONTINUMENT, auquel de ces deux mots manque-t-il un accent circonflexe ? »
Et il faut répondre obligatoirement l’un ou l’autre !!!
Cher TF1, le Conseil Supérieur de la Langue Française en 1990 fit paraître au Journal officiel un document intitulé « Les rectifications de l’orthographe ». Les principales modifications préconisées étaient entre autres la possibilité de supprimer certains accents circonflexes sur le i et le u (voute, traitre, paraitre, huitre…) dont celui sur CONTINUMENT. Votre question n’admet donc pas de réponse…
Pourquoi féminiser des noms communs masculins ? Parce que (in)justement, l’on croit qu’ils sont masculins alors qu’ils sont en réalité neutres et désignent un ensemble d’individus des deux sexes. Seulement, ce neutre est confondu avec le masculin, et ce flou est conforté par nos instituteurs (= nom commun neutre désignant l’ensemble des hommes et femmes qui dispensent l’enseignement primaire) qui nous disaient : « le masculin l’emporte sur le féminin », alors que les filles hurlaient de colère et que les garçons montraient leurs fiers biceps naissants ! Aujourd’hui, le combat est devenu : les hommes l’emportent sur les femmes, et les « féminisantes » se sont mises à hurler à leur tour alors que les hommes sont obligés de se taire sous peine d’être traité de machistes, de misogynes et juste après, de vieux con-servateurs et autres compliments du même acabit…
Malheureusement, lesdites féminisantes se sont trompées de combat : le vrai aurait été de remettre le neutre à sa place au lieu de compliquer notre langue avec des féminisations absurdes et même souvent impossibles. Quelle est la honte pour une femme d’être auteur, écrivain, romancier ? Son rôle n’est-il pas plus important que son sexe ? Les auteures, écrivaines et autres romancières sont déjà en marche. Pourtant, à mon avis, une femme auteur, une femme écrivain, si l’on veut marquer le sexe, devrait (ren)contrer en face un homme auteur, un homme écrivain… La « directrice » existe déjà, tout comme la « présidente », alors que « Madame le Directeur » et « Madame le Président » fonctionnerait tout aussi bien et tout aussi clairement. De plus, tous les mots ne sont pas libres à la féminisation et cela va encore compliquer les choses : je souhaite un bon courage à l’entraîneuse, à la coureuse et à la professionnelle qui vont passer pour ce qu’elles ne sont (peut-être) pas ! Et pour « ministre » ou « secrétaire », quelles solutions pour nos féminisantes : « ministresse » et « sécrétaireuse » ?
J’ai fait un rêve : que la langue française n’avait plus de masculin, plus de féminin et que les articles étaient uniques : d’ailleurs même les mots « masculin » et « féminin » n’avaient jamais existé ! Je n’ai pas rêvé que j’étais Anglais : comme je les envie, nos outre-Manche !
Bien sûr que je comprends l’envie d’égalité de chacune des femmes qui vont lire ce texte, bien sûr que j’approuve les actions qui iront dans ce sens, mais je refuse que nous soyons nivelés par le bas en faisant fi de nos origines d’autant que ce combat me semble plus idéologique de linguistique !
Trop tard, la féminisation des noms masculins est entamée. Oui, voilà qu’est supprimé « Mademoiselle » de la langue française pour cause d’attentat à la virginité ! Pour ma part, j’aurais préféré que l’on rajoutât « Damoiseau » dans notre quotidien. Ce combat est unilatéral et donc antidémocratique, car imposé sans débat par Mesdames les féminisantes (je doute qu’il y ait des hommes). La langue française appartient uniquement aux Français (= nom neutre désignant les hommes et les femmes de France) et donc, à tous les Français.
En conséquence, je demande que Word continue à souligner de rouge les mots féminisés et que nos instituteurs devenus professeurs des écoles arrêtent d’enseigner des explications fausses quant aux genres des mots à nos enfants. Je demande que tout mot de métier ou assimilé soit précédé de « Monsieur le » ou de « Madame le » ou de « Mademoiselle le » ou de « Mademoiseau le »… afin de connaître le sexe de ladite personne au cas où cela aurait un intérêt, d’ailleurs.
Enfin, je me demande si ce n’est pas l’homme tout entier qui est en cours de suppression et que le combat ne serait pas tout simplement… féministe ?
Thierry Brayer, coach en écriture
Délégué régional de l’association
Défense Langue Française
pour les B.-D-.R.
Dans la mesure où une rumeur est, selon le Larousse, un « bruit qui se répand dans le public, dont l’origine est inconnue ou incertaine et la véracité douteuse », elle ne serait être fausse, ce qui deviendrait une absurdité, comme il n’existe pas de « vraie » rumeur : au mieux, elle peut s’avérer ou être une fausse information.
Un commentaire Twitter :
c’est le contenu de la rumeur qui est vrai ou faux, pas la rumeur en elle-même 🙂